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Tagada tagada
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24 Nov 2017 23:07 #3572
par indienestmonnom
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25 Nov 2017 08:25 #3574
par topman
topman a répondu au sujet : Tagada tagada
Le ML AMG de ta belle mère
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25 Nov 2017 08:47 - 25 Nov 2017 08:54 #3575
par indienestmonnom
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25 Nov 2017 14:19 #3576
par JuanIV
JuanIV a répondu au sujet : Tagada tagada
Je dirai mustang v8....
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25 Nov 2017 18:02 #3577
par indienestmonnom
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25 Nov 2017 20:52 #3578
par JuanIV
JuanIV a répondu au sujet : Tagada tagada
Un son rauque et sympa, non ?
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26 Nov 2017 16:49 - 26 Nov 2017 17:04 #3579
par indienestmonnom
indienestmonnom a répondu au sujet : Tagada tagada
Le son du V8 est effectivement ce qu'il y a de plus attrayant dans cette voiture.
Le design général est une bonne évolution des versions précédentes. L'habitacle est très confortable à l'avant, super riquiqui à l'arrière, mais la position de conduite réglable permet de se satisfaire d'un plafond très bas et de vitres latérales un peu trop haut placées pour jouir du coude à la portière. Une fois rehaussée l'assise, on domine l'énorme capot avant et on reprend confiance dans les dimensions généreuses de l'auto.
Avec ses 421ch, notre exemplaire était muni d'une boîte auto un peu trop longue à mon goût. Comme toute Mustang, c'est d'abord une gourmande de lignes droites, pas très agile dans le sinueux. Je me suis même fendu d'un petit coup de raquette, heureusement bien maîtrisé, en mettant les gaz dans un virage serré pour tester les appuis de la bête. Toute la structure reste bien en ligne, sans se tordre comme nos petites danseuses allemandes, et le plaisir de la conduite réactive est difficile à obtenir sur nos routes départementales volontiers joueuses.
Mais quand l'horizon se dégage, la Mustang 5.0 GT devient un régal et il faut bien monter dans les tours pour en libérer l'énergie. Une fois l'obus lancé, on sent la masse qui vous pousse vers l'avant et on se demande si on va réussir à arrêter cet effet d'auto-dynamisme. Et là, il faut bien dire que les freins très courts sont terriblement efficaces, et par conséquent difficiles à doser, surtout sur le mouillé.
En cruising, au pas, dans la zone piétonne de la vielle ville de Bâle (si, si), la voiture fait sensation, même dans sa livrée grise neutre. Sa gueule de mastiff, sa forme actuelle peu connue, mais un blason reconnaissable entre mille, lui confèrent un attrait immédiat. Les passants s'écartent et même les forces de police, qui finiront pas nous sortir des petites ruelles encombrées, ont confirmé cette empathie...
À moins que ce soit pour le son, point de départ de ce petit compte-rendu.
Le design général est une bonne évolution des versions précédentes. L'habitacle est très confortable à l'avant, super riquiqui à l'arrière, mais la position de conduite réglable permet de se satisfaire d'un plafond très bas et de vitres latérales un peu trop haut placées pour jouir du coude à la portière. Une fois rehaussée l'assise, on domine l'énorme capot avant et on reprend confiance dans les dimensions généreuses de l'auto.
Avec ses 421ch, notre exemplaire était muni d'une boîte auto un peu trop longue à mon goût. Comme toute Mustang, c'est d'abord une gourmande de lignes droites, pas très agile dans le sinueux. Je me suis même fendu d'un petit coup de raquette, heureusement bien maîtrisé, en mettant les gaz dans un virage serré pour tester les appuis de la bête. Toute la structure reste bien en ligne, sans se tordre comme nos petites danseuses allemandes, et le plaisir de la conduite réactive est difficile à obtenir sur nos routes départementales volontiers joueuses.
Mais quand l'horizon se dégage, la Mustang 5.0 GT devient un régal et il faut bien monter dans les tours pour en libérer l'énergie. Une fois l'obus lancé, on sent la masse qui vous pousse vers l'avant et on se demande si on va réussir à arrêter cet effet d'auto-dynamisme. Et là, il faut bien dire que les freins très courts sont terriblement efficaces, et par conséquent difficiles à doser, surtout sur le mouillé.
En cruising, au pas, dans la zone piétonne de la vielle ville de Bâle (si, si), la voiture fait sensation, même dans sa livrée grise neutre. Sa gueule de mastiff, sa forme actuelle peu connue, mais un blason reconnaissable entre mille, lui confèrent un attrait immédiat. Les passants s'écartent et même les forces de police, qui finiront pas nous sortir des petites ruelles encombrées, ont confirmé cette empathie...
À moins que ce soit pour le son, point de départ de ce petit compte-rendu.
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