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Les jet-cars
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21 Déc 2017 18:04 - 22 Déc 2017 07:11 #3689
par indienestmonnom
indienestmonnom a créé le sujet : Les jet-cars
La guerre est finie. L’Amérique a encore gagné. Mais cette fois, l’horreur a atteint le point de l’innommable. Et la paix qui s’installe fait écho à une furieuse envie de tourner la page, de changer d’époque.
On entre alors dans une nouvelle ère, pressée et prospère, soucieuse d’accélérer pour échapper aux vifs souvenirs de la barbarie. La technologie progresse à pas de géant, le rockn’roll dévaste les salles de concerts et la culture populaire embrasse les codes de la science-fiction.
Nous sommes le 13 octobre 1947. Dans le désert des Mojaves, en Californie, l’officier de liaison Chuck Yeager/ Sam Shepard termine sa bière au comptoir poussiéreux de la cambuse du Muroc Army Air Field. Demain, il sera le premier homme à franchir le mur du son. À bord du supersonique Bell X-1, il vaincra le « démon du ciel » et propulsera la planète toute entière, et les Etats-Unis en particulier, dans le « Jet-Age ».
Ce que l’industrie de l’aéronautique, lancée à la conquête des étoiles, a apporté au design grand public est incommensurable : les caravanes Airstream, les trains transcontinentaux, les robots ménagers, le mobilier d’intérieur, l’architecture des pavillons privés, les postes de radio et de télévision, les soutien-gorges Wonderbra et surtout, la Turbotraction de Spirou et Fantasio !
Car s’il est un domaine qui a parfaitement épousé les codes de conception des jets, c’est bien celui de l’automobile. Nous parlons ici des « jet-cars ».
Au-delà de l’esprit des formes qui reprend les arguments aérodynamiques des supersonics en les conjuguant à un discours futurophile aujourd’hui délicieusement suranné, ces voitures, qui se voulaient en avance sur leur temps, préfiguraient très justement les véhicules que le XXIème siècle nous réserve : recherche de modes de transmission alternatifs, autonomie, services à bord, la vision du monde à venir se voulait paisible et glorieuse, pragmatique et efficace, dépouillée de problèmes qui n’ont pas de solution.
On ne mesurait alors absolument pas les effets de la question palestinienne sur l’essor du terrorisme jihadiste, on ne connaissait pas le chômage de masse comme habitude, les familles recomposées ne l’étaient pas encore et le réchauffement climatique n’avait même pas commencé à n’avoir jamais existé…
Issue de cette époque merveilleusement insouciante, voici une sélection de concept-cars, sidérantes capsules sidérales à roulettes. La suite de ce sujet est la traduction enrichie d’un article paru en septembre 2017 dans le journal londonien « Evening Standard ».
Buick Le Sabre (1951)
Le légendaire designer en chef de chez GM, Harley Earl, utilisait la sienne quotidiennement. Elle était équipée de lève-vitres électriques et le toit se refermait automatiquement en cas de pluie.
Ford XL500 (1953)
Pour une conduite sans effort, ses crics intégrés étaient un avantage en cas de crevaison. La climatisation standard était bien utile pour arrêter de frire, et si cela échouait, vous pouviez toujours demander une assistance médicale sur le téléphone standard.
Buick Wildcat II (1954)
Sortie la même année que la Corvette, elle est construite en fibre de verre. Le toit escamotable, les fenêtres et les sièges étaient actionnés par hydraulique.
De Soto Adventurer II Coupé (1954)
De Soto était une marque de Chrysler. L’Adventurer se voulait plus aérodynamique qu’esthétique. Avec son pare-brise rétractable, il possédait malgré tout un tableau de bord en métal satiné, une sellerie en cuir noir avec passepoils blancs et des bagages assortis…
Ford FX Atmos (1954)
La FX (pour « Futur Experimental ») était sensée se conduire en position centrale avec des poignées, Un «radar» monté sur le tableau de bord devait permettre de naviguer en fournissant des information sur les autoroutes, tandis que les deux antennes de devant (des « javelot à piétons ») se voulaient des détecteurs de collision. Le moteur, à technologie atomique, n’ayant jamais été produit, la voiture resta à l’état de concept-car.
GM Firebird I (1954)
Propulsée par une turbine à gaz, cette monoplace en fibre de verre se pilotait avec un manche unique qui contrôlait la direction, l’accélération et les freins. Une version miniature de la Firebird 1 couronne le trophée Harley J. Earl, remis au vainqueur du Daytona 500.
Ford Mystere (1955)
La Mystere, idéalement propulsée par une turbine à gaz, possédait un volant de guidage de type avion, dit « à renversement », qui pouvait permettre de la conduire de chaque siège avant. La verrière pouvait s'ouvrir à 70 degrés, les sièges avant pivotaient vers l'extérieur et les passagers pouvaient facilement entrer et sortir par des demi-portes.
Lincoln Futura (1955)
Avec sa verrière double en plastique, la Futura, contrairement à la majorité des autres concept-cars de l’époque était un véhicule complètement opérationnel. Sa couleur originale était d'un blanc iridescent utilisant des perles de culture comme pigments pour obtenir cet effet optique. Elle servit de modèle pour l’élaboration de la première Batmobile.
Buick Centurion (1956)
Avec sa carrosserie en fibre de verre et son cockpit en verre, la Centurion possédait une caméra de télévision en guise de rétroviseur. L’intérieur est garni de quatre sièges individuels, ceux de l’avant coulissant automatiquement lors de l’ouverture des portières pour faciliter l’accès.
GM Firebird II (1956)
L'extérieur de la carrosserie de la Firebird II était entièrement réalisé en titane. Elle était également équipée d'un système de guidage sophistiqué, conçu pour être utilisé sur les "autoroutes de l'avenir", où un fil électrique incorporé dans la chaussée devait envoyer des signaux qui pouvaient aider à orienter les futures voitures5 et éviter les accidents.
GM XP-500 (1956)
Le XP-500 était propulsé par le moteur GM 4-4 Hyprex. Brûlant des huiles animales, végétales ou minérales, il pompait des gaz chauds vers une turbine qui entraînait les roues arrière. Malheureusement, il était si bruyant que les protecteurs d'oreille étaient obligatoires.
Pontiac Club de Mer (1956)
Equipé du moteur le plus puissant de chez Pontiac à l’époque, ce roadster de sport avait l’originalité de cacher ses phares avant dans une calandre aérodynamique, qui se relevait de 180° en cas d’utilisation des feux.
Ford X-1000 (1957)
Le X-1000 pouvait avoir son moteur à l'avant ou à l'arrière. Il y avait une télévision, un système de musique et un auvent rétractable.
Ford La Galaxie (1958)
Les trois sièges avant séparés, combinés avec la banquette arrière, pouvaiy accueillir six personnes sous un toit à charnière papillon.
Ford Nucleon (1958)
Ce modèle resta à l'état de prototype et seule une maquette à l'échelle 1:33 fut assemblée. Avec son petit réacteur nucléaire situé à l'arrière, il était théoriquement capable de parcourir 8000kms.
Ford X-2000 (1958)
Egalement réalisé uniquement en maquette (la version roulante ayant été annulée), ce modèle se voulait une prédiction de ce qu’on conduirait en 2000…
GM Firebird III (1958)
Ce troisième prototype en fibre de verre présentait de nombreuses améliorations, comme le régulateur de vitesse et l'anti-blocage des freins. Des aéro-freins avait été ajoutés, une clé "ultra-sonique" commandait l'ouverture des portes; un système automatisé de guidage pour aider à éviter les accidents et un système de pilotage "mains libres" complétait l’offre.
XP-700 Corvette (1958)
Parmi les concepts les plus exotiques de ce modèle, qui reprenait un grand nombre de pièce de la Corvette régulière : un rétroviseur, monté au-dessus du pare-brise, avec un hublot dans la structure du toit.
Cadillac Cyclone (1959)
La Cyclone est aquipé d’un radar, exploité comme système d'évitement de collision, les capteurs étant montés en double « nez-cônes » à l'avant de la voiture. Les échappements du moteur se font devant les roues avant.
Chrysler Turboflite (1961)
Designée par Ghia, la Turboflit aurait du recevoir le moteur à turbine à gaz de 3e génération, mais il était en réalité monté avec un exemplaire en bois ! L'ensemble de la canopée se soulevait / baissait en synchronisation avec les portes.
Ford Gyron (1961)
Cette voiture gyroscopique restait en équilibre même si elle n'avait que deux roues. Lorsque le véhicule était à l'arrêt, deux petites jambes apparaissaient sur les côtés pour le soutenir.
GM Runabout (1964)
Pour sa part, ce monospace avant l’heure, qui pouvait accueillir jusqu’à 5 personnes, tenait sur trois roues. Son coffre arrière était composé de deux caddies détachables, avec des roulettes pliables…
Ford Seattle-ite XXI (1967)
6 roues au total, dont 4 à l’avant, pour cet autre concept-car. L’ensemble se pilotait à l’aide de boutons disposés sur le tableau de bord. Trois choix de motorisation était disponibles : turbine à gaz, électrique ou nucléaire !
Buick Century Cruiser (1969)
Ce véhicule expérimental offrait une conduite mains libres, des sièges pivotants, un réfrigérateur et un téléviseur. Il pouvait cependant être actionné manuellement par des poignées de pistolet placées dans les accoudoirs pour la direction et la régulation de la vitesse.
Crédit photos : www.standard.co.uk
On entre alors dans une nouvelle ère, pressée et prospère, soucieuse d’accélérer pour échapper aux vifs souvenirs de la barbarie. La technologie progresse à pas de géant, le rockn’roll dévaste les salles de concerts et la culture populaire embrasse les codes de la science-fiction.
Nous sommes le 13 octobre 1947. Dans le désert des Mojaves, en Californie, l’officier de liaison Chuck Yeager/ Sam Shepard termine sa bière au comptoir poussiéreux de la cambuse du Muroc Army Air Field. Demain, il sera le premier homme à franchir le mur du son. À bord du supersonique Bell X-1, il vaincra le « démon du ciel » et propulsera la planète toute entière, et les Etats-Unis en particulier, dans le « Jet-Age ».
Ce que l’industrie de l’aéronautique, lancée à la conquête des étoiles, a apporté au design grand public est incommensurable : les caravanes Airstream, les trains transcontinentaux, les robots ménagers, le mobilier d’intérieur, l’architecture des pavillons privés, les postes de radio et de télévision, les soutien-gorges Wonderbra et surtout, la Turbotraction de Spirou et Fantasio !
Car s’il est un domaine qui a parfaitement épousé les codes de conception des jets, c’est bien celui de l’automobile. Nous parlons ici des « jet-cars ».
Au-delà de l’esprit des formes qui reprend les arguments aérodynamiques des supersonics en les conjuguant à un discours futurophile aujourd’hui délicieusement suranné, ces voitures, qui se voulaient en avance sur leur temps, préfiguraient très justement les véhicules que le XXIème siècle nous réserve : recherche de modes de transmission alternatifs, autonomie, services à bord, la vision du monde à venir se voulait paisible et glorieuse, pragmatique et efficace, dépouillée de problèmes qui n’ont pas de solution.
On ne mesurait alors absolument pas les effets de la question palestinienne sur l’essor du terrorisme jihadiste, on ne connaissait pas le chômage de masse comme habitude, les familles recomposées ne l’étaient pas encore et le réchauffement climatique n’avait même pas commencé à n’avoir jamais existé…
Issue de cette époque merveilleusement insouciante, voici une sélection de concept-cars, sidérantes capsules sidérales à roulettes. La suite de ce sujet est la traduction enrichie d’un article paru en septembre 2017 dans le journal londonien « Evening Standard ».
Buick Le Sabre (1951)
Le légendaire designer en chef de chez GM, Harley Earl, utilisait la sienne quotidiennement. Elle était équipée de lève-vitres électriques et le toit se refermait automatiquement en cas de pluie.
Ford XL500 (1953)
Pour une conduite sans effort, ses crics intégrés étaient un avantage en cas de crevaison. La climatisation standard était bien utile pour arrêter de frire, et si cela échouait, vous pouviez toujours demander une assistance médicale sur le téléphone standard.
Buick Wildcat II (1954)
Sortie la même année que la Corvette, elle est construite en fibre de verre. Le toit escamotable, les fenêtres et les sièges étaient actionnés par hydraulique.
De Soto Adventurer II Coupé (1954)
De Soto était une marque de Chrysler. L’Adventurer se voulait plus aérodynamique qu’esthétique. Avec son pare-brise rétractable, il possédait malgré tout un tableau de bord en métal satiné, une sellerie en cuir noir avec passepoils blancs et des bagages assortis…
Ford FX Atmos (1954)
La FX (pour « Futur Experimental ») était sensée se conduire en position centrale avec des poignées, Un «radar» monté sur le tableau de bord devait permettre de naviguer en fournissant des information sur les autoroutes, tandis que les deux antennes de devant (des « javelot à piétons ») se voulaient des détecteurs de collision. Le moteur, à technologie atomique, n’ayant jamais été produit, la voiture resta à l’état de concept-car.
GM Firebird I (1954)
Propulsée par une turbine à gaz, cette monoplace en fibre de verre se pilotait avec un manche unique qui contrôlait la direction, l’accélération et les freins. Une version miniature de la Firebird 1 couronne le trophée Harley J. Earl, remis au vainqueur du Daytona 500.
Ford Mystere (1955)
La Mystere, idéalement propulsée par une turbine à gaz, possédait un volant de guidage de type avion, dit « à renversement », qui pouvait permettre de la conduire de chaque siège avant. La verrière pouvait s'ouvrir à 70 degrés, les sièges avant pivotaient vers l'extérieur et les passagers pouvaient facilement entrer et sortir par des demi-portes.
Lincoln Futura (1955)
Avec sa verrière double en plastique, la Futura, contrairement à la majorité des autres concept-cars de l’époque était un véhicule complètement opérationnel. Sa couleur originale était d'un blanc iridescent utilisant des perles de culture comme pigments pour obtenir cet effet optique. Elle servit de modèle pour l’élaboration de la première Batmobile.
Buick Centurion (1956)
Avec sa carrosserie en fibre de verre et son cockpit en verre, la Centurion possédait une caméra de télévision en guise de rétroviseur. L’intérieur est garni de quatre sièges individuels, ceux de l’avant coulissant automatiquement lors de l’ouverture des portières pour faciliter l’accès.
GM Firebird II (1956)
L'extérieur de la carrosserie de la Firebird II était entièrement réalisé en titane. Elle était également équipée d'un système de guidage sophistiqué, conçu pour être utilisé sur les "autoroutes de l'avenir", où un fil électrique incorporé dans la chaussée devait envoyer des signaux qui pouvaient aider à orienter les futures voitures5 et éviter les accidents.
GM XP-500 (1956)
Le XP-500 était propulsé par le moteur GM 4-4 Hyprex. Brûlant des huiles animales, végétales ou minérales, il pompait des gaz chauds vers une turbine qui entraînait les roues arrière. Malheureusement, il était si bruyant que les protecteurs d'oreille étaient obligatoires.
Pontiac Club de Mer (1956)
Equipé du moteur le plus puissant de chez Pontiac à l’époque, ce roadster de sport avait l’originalité de cacher ses phares avant dans une calandre aérodynamique, qui se relevait de 180° en cas d’utilisation des feux.
Ford X-1000 (1957)
Le X-1000 pouvait avoir son moteur à l'avant ou à l'arrière. Il y avait une télévision, un système de musique et un auvent rétractable.
Ford La Galaxie (1958)
Les trois sièges avant séparés, combinés avec la banquette arrière, pouvaiy accueillir six personnes sous un toit à charnière papillon.
Ford Nucleon (1958)
Ce modèle resta à l'état de prototype et seule une maquette à l'échelle 1:33 fut assemblée. Avec son petit réacteur nucléaire situé à l'arrière, il était théoriquement capable de parcourir 8000kms.
Ford X-2000 (1958)
Egalement réalisé uniquement en maquette (la version roulante ayant été annulée), ce modèle se voulait une prédiction de ce qu’on conduirait en 2000…
GM Firebird III (1958)
Ce troisième prototype en fibre de verre présentait de nombreuses améliorations, comme le régulateur de vitesse et l'anti-blocage des freins. Des aéro-freins avait été ajoutés, une clé "ultra-sonique" commandait l'ouverture des portes; un système automatisé de guidage pour aider à éviter les accidents et un système de pilotage "mains libres" complétait l’offre.
XP-700 Corvette (1958)
Parmi les concepts les plus exotiques de ce modèle, qui reprenait un grand nombre de pièce de la Corvette régulière : un rétroviseur, monté au-dessus du pare-brise, avec un hublot dans la structure du toit.
Cadillac Cyclone (1959)
La Cyclone est aquipé d’un radar, exploité comme système d'évitement de collision, les capteurs étant montés en double « nez-cônes » à l'avant de la voiture. Les échappements du moteur se font devant les roues avant.
Chrysler Turboflite (1961)
Designée par Ghia, la Turboflit aurait du recevoir le moteur à turbine à gaz de 3e génération, mais il était en réalité monté avec un exemplaire en bois ! L'ensemble de la canopée se soulevait / baissait en synchronisation avec les portes.
Ford Gyron (1961)
Cette voiture gyroscopique restait en équilibre même si elle n'avait que deux roues. Lorsque le véhicule était à l'arrêt, deux petites jambes apparaissaient sur les côtés pour le soutenir.
GM Runabout (1964)
Pour sa part, ce monospace avant l’heure, qui pouvait accueillir jusqu’à 5 personnes, tenait sur trois roues. Son coffre arrière était composé de deux caddies détachables, avec des roulettes pliables…
Ford Seattle-ite XXI (1967)
6 roues au total, dont 4 à l’avant, pour cet autre concept-car. L’ensemble se pilotait à l’aide de boutons disposés sur le tableau de bord. Trois choix de motorisation était disponibles : turbine à gaz, électrique ou nucléaire !
Buick Century Cruiser (1969)
Ce véhicule expérimental offrait une conduite mains libres, des sièges pivotants, un réfrigérateur et un téléviseur. Il pouvait cependant être actionné manuellement par des poignées de pistolet placées dans les accoudoirs pour la direction et la régulation de la vitesse.
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- phil06
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27 Déc 2017 11:17 #3704
par phil06
phil06 a répondu au sujet : Les jet-cars
Super sujet, merci Jean Marie
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- phil06
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27 Déc 2017 11:17 #3705
par phil06
phil06 a répondu au sujet : Les jet-cars
en plus j'ai trouvé le sujet super rapidement
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- indienestmonnom
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27 Déc 2017 11:22 #3706
par indienestmonnom
indienestmonnom a répondu au sujet : Les jet-cars
Les suédois aussi, on eu leur jet-car ! ;)
saabworld.org/1960-saab-93f-the-jet-age-...rom-sweden-brochure/
saabworld.org/1960-saab-93f-the-jet-age-...rom-sweden-brochure/
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- enten bürzel
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03 Jan 2018 08:20 #3725
par enten bürzel
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03 Jan 2018 10:25 #3726
par indienestmonnom
indienestmonnom a répondu au sujet : Les jet-cars
J'aime beaucoup leur approche éditoriale en général.
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